Vivre à la campagne ou là où l'on a grandi : c'est une priorité absolue pour de nombreuses personnes, et elles acceptent de longs trajets pour se rendre au travail pour y parvenir. Ils font la navette et conduisent fréquemment. Que ce soit en bus, en train ou en voiture, pour un grand nombre de salariés, le trajet quotidien pour se rendre au travail le matin et rentrer chez soi le soir fait partie intégrante du rythme de vie.
Beaucoup d'entre eux passent plusieurs heures par jour en voiture ou dans les transports publics. Certains navetteurs peuvent utiliser ce temps à bon escient en travaillant sur des courriels, en passant des appels téléphoniques ou en faisant des recherches.
Ces imprévus qui stimulent le stress des transports
Les lundis matins sont souvent particulièrement mauvais, mais aussi lorsqu'un imprévu se produit. Par exemple, si le train a du retard, si le bus est annulé, si le train fait grève ou si un pont rend l'âme. Être coincé dans un embouteillage pendant des heures n'a rien d'exceptionnel pour des centaines de milliers de salariés.
Lorsque le trajet du matin se double, les nerfs peuvent prendre le dessus. Car il n'y a pas que le patron et les collègues qui attendent, mais aussi le partenaire, le mari ou les enfants qui ne voient pas maman ou papa avant le coucher. C'est mieux pendant les vacances scolaires, les jours de transition ou lorsque vous pouvez travailler de manière anticyclique. Commencer plus tôt ou plus tard que la plupart des autres et éviter autant que possible l'heure de pointe, telle est la devise.
Les alternatives possibles pour combattre ce stress
Et puis il y a le facteur coût, qu'il ne faut pas sous-estimer : le prix de l'essence augmente, tout comme celui du bus et du train. De nombreux navetteurs cherchent alors des alternatives.
Et il y en a par exemple sous la forme d'une résidence secondaire à proximité du bureau - mais est-ce bien ce que vous voulez ? Passer encore plus de temps loin de vos proches ? Avec le risque de perdre le contact avec la vie quotidienne normale ou de mettre la relation en danger ?
C'est pourquoi de nombreux navetteurs cherchent d'autres options : Le covoiturage, par exemple, qui limite la flexibilité, mais permet au moins d'économiser des coûts et offre peut-être des interlocuteurs sympathiques. Ou un bureau à domicile plus intensif si le travail et le superviseur le permettent.
Faire la navette au détriment de votre physique et de votre psychisme ?
Le facteur psychologique ne doit pas non plus être sous-estimé : Ne jamais savoir exactement quand vous arriverez, avoir toujours les yeux sur l'heure, et toujours avoir son téléphone portable chargé pour prévenir son patron ou ses proches de son retard. C'est épuisant et cela draine votre énergie. En outre, les navetteurs souffrent plus souvent de problèmes de dos et de sommeil que ceux dont le travail se trouve à deux pas.
Mais pourquoi tant de travailleurs subissent-ils cette folie quotidienne ? C'est simple : la plupart d'entre eux n'ont pas d'autre choix. L'emploi de rêve se trouve généralement en ville, où les loyers sont souvent exorbitants. En outre, de nombreuses personnes se sentent plus à l'aise dans les zones rurales et ont le sentiment de pouvoir mieux se déconnecter.
Il faut donc supporter les déplacements. Et le nombre de navetteurs est en augmentation. Il n'y aura pas de solution unique pour les navetteurs. Par conséquent, la seule option est d'utiliser le temps à bon escient - par exemple, pour apprendre une nouvelle langue. Parce que le "temps de trajet" utilisé raisonnablement vous rend plus heureux. En outre, vous devez essayer de rendre votre trajet aussi agréable que possible.